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Merci!

Bonjour Tom
Le tout est vraiment délicat. Surtout avec le Konjac, toutes sortes de travaux d’élevage ont probablement déjà été effectués au Japon, car ils y sont cultivés commercialement. Et vous avez vous-même différents clones avec vous. J’essaie seulement de rendre compte des plantes qui gardent leur apparence différente pendant des années et de transférer cela à toutes les ramifications! Mais il y a beaucoup de choses que je ne peux pas faire: la puissance de croissance, la résistance au gel, la susceptibilité à la rupture du vent, la résistance à la sécheresse, la teneur en acide oxalique, etc. sont laissées de côté. Mais ce qui est vraiment problématique, ce ne sont pas les plantes qui s’écartent beaucoup, mais les plantes qui se ressemblent (presque), mais qui ne proviennent pas du même semis. Par exemple, si j’en ai 25 différents !! Si les plantes ont toutes la même apparence, est-ce que je les jette toutes dans un pot sous un nom collectif? Heureusement, mes cheveux sont déjà tout fantaisie sinon ils deviendraient gris maintenant!
Salutation
Klaus

Eh bien Klaus personne n’a dit que ce sera facile Pour les variétés japonaises il y aura une véritable protection des variétés végétales (alimentaire), mais on peut se demander si l’Europe en relève aussi... la protection des obtentions végétales dans le monde entier devrait coûter très cher! Mais votre problème, ce sont les nombreux... vous devez probablement en choisir un que vous transmettez, vous pouvez laisser le reste dans votre forêt de konjac... ou le recyclage, mais s’il vous plaît ne les mettez pas tous dans un pot et tous sous le même nom.

Je pense que c’est génial que vous portiez une attention aussi particulière à la stabilité de la variété! on le trouve rarement chez les éleveurs amateurs
Salutations Tom

Bonjour Klaus,

Continuer des douzaines ou même plus de plants de konjac d’apparence identique, tous avec leur propre numéro ou nom, est probablement illusoire et, à mon avis, pas nécessaire ; Je les mettrais également dans un pot, puis je les appellerais simplement « semis de konjac » lorsqu’ils sont transmis ; éventuellement les parents entre parenthèses derrière eux (maman x papa), s’ils sont définis et ont un numéro ou un nom.

Dans le cas de génotypes différents, ils doivent alors être poursuivis séparément ; avec un nom ou un numéro et les parents doivent être documentés....

Vous ne pouvez pas faire grand-chose de plus en tant que personne privée et, à mon avis, vous n’êtes pas obligé.
mais je pense que c’est génial quand c’est fait, parce que je viens du milieu du jardinage et que j’ai aussi déjà travaillé pour un sélectionneur de plantes ; donc je suis tout à fait en faveur de cela et aussi assez paranoïaque à propos de la documentation des génotypes/plantes individuelles...

En ce sens, je trouve très louable que vous réfléchissiez à cela et que vous le documentiez certainement bien pour les plantes/clones individuels bien visibles...

Bonne croissance, Bernhard.

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Il s’agissait d’un tubercule pesant plus d’un kilogramme qui n’avait pas fleuri. Malheureusement, ceux qui avaient fleuri ne sortent toujours pas du sol.

Citation tirée de « Dung Beetle »

Malheureusement, ceux qui avaient fleuri ne sortent toujours pas du sol.

Malheureusement, cela n’a pas changé. Seul le granit a une pousse de feuille qui sort du sol il y a quelques jours. Je ne pense pas que j’aurai plus d’une fleur de konjac au printemps prochain.

Cette semaine, 3 des 5 konjacs restants sont sortis de terre. Parmi eux se trouve le plus gros tubercule avec un poids de récolte de 3,4 kg. Jusqu’à présent, il n’y a qu’un seul lecteur à voir. J’espère qu’il en sera toujours ainsi. Indice : Le tubercule avait 4 bourgeons gonflés, dont aucun que je n’avais enlevé.

Seuls le deuxième plus gros tubercule et le grand Leo Song (qui n’avait pas fleuri) sont maintenant ouverts. Ce dernier, cependant, avait déjà une pousse au-dessus du sol, mais elle est restée coincée. Quand rien n’avançait pendant longtemps et que les bractées semblaient creuses, je les ouvris et trouvai une feuille noire ratatinée et momifiée, sous laquelle le nouveau bourgeon était déjà visible. Je vais voir s’il flotte encore. Ce serait probablement mieux si ce n’était pas le cas.

Espérons que les premières gelées nocturnes ne reviendront pas au début du mois d’octobre.

Comme je n’ai malheureusement pu mettre en pot que très tard cette année, les premières gelées tardives seraient vraiment utiles - sinon la récolte sera modeste.... :-(

Bonne croissance, Bernhard.

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